Shalom Akhshav, 15 septembre 2010
[->http://www.peacenow.org.il/site/en/peace.asp?pi=66&]docid=4788]
Trad. Gérard Eizenberg pour La Paix Maintenant
Ce matin (15 septembre 2010), les principaux quotidiens ont publié un encart publicitaire de Shalom Akhshav, dont une lettre ouverte au Premier ministre, qui l’avertit des conséquences désastreuses sur le plan international qu’aurait un refus de prolonger le moratoire sur la construction dans les colonies. Cette lettre est signée par d’importants hauts fonctionnaires du ministère des Affaires Etrangères, tous expérimentés dans le domaine politique et diplomatique.
Parmi les signataires :
Colette Avital, ancienne vice chef de cabinet du ministère des Affaires Etrangères et consul général à New
Dr. Yossi Beilinancien président du Meretz, ancien vice-ministre des Affaires, Etrangères, initiateur des Accords de Genève
Gadi Baltiansky, ancien porte-parole de l’ambassade d’Israël à Washington, porte-parole de L’initiative de Genève
Dr. Tamar Golan, ancienne ambassadrice en Angola
Shlomo Gur- ancien émissaire spécial auprès de l’ambassade d’Israël à Washington
Dr. Yehoyada Chaim, ancien ambassadeur en Chine et en Inde, et dirige le Center for Policy Research
Dr. Alon Liel, ancien directeur général du ministère des Affaires Etrangères et ambassadeur en Afrique du Sud
Moshe Melamed, ancien ambassadeur au Mexique
Benny Navon, ancien ambassadeur en Allemagne
Uri Savir, ancien directeur général du ministère des Affaires Etrangères
Prof. Aliza Shenhar; ancien ambassadeur en Russie
Dans cette lettre ouverte, ces fonctionnaires manifestent leur inquiétude pour le statut d’Israël au cas où la décision serait prise de reprendre la construction dans les colonies : « Revenir dans cette voie mettrait en danger Israël sur le plan international, et renforcerait la campagne de délégitimation du sionisme. »
De nombreux fonctionnaires à qui nous avons parlé ont refusé de signer la lettre par crainte d’exprimer publiquement des opinions politiques tout en étant en accord avec ses termes• Ils nous ont exprimé leur vive inquiétude.